Le prix de l'acquisition, acceptée fin avril, était de 44 milliards de dollars, mais le patron de Tesla et SpaceX avait indiqué que l'opération ne parviendrait pas à son terme tant qu'il n'aurait pas la preuve que moins de 5% des comptes sont des faux.
Dans une lettre publiée hier par le gendarme boursier américain, les avocats du milliardaire affirment que "Twitter n'a pas respecté de multiples clauses de l'accord, et semble avoir donné des informations fausses et trompeuses sur lesquelles M. Musk s'est basé pour s'engager dans l'accord d'acquisition".
Selon plusieurs analystes internationaux, la polémique sur les faux comptes n'est en réalité qu'un prétexte pour Musk de se retirer de l'affaire sans avoir à payer de pénalités.
Suite à l'annonce de la rupture de l'accord, le conseil d'administration de Twitter annonce un procès contre le milliardaire. Le patron de Twitter, Bret Taylor, se dit "déterminé à conclure la transaction au prix et aux termes convenus".
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